Stéphanie Will, faire rayonner toutes les œuvres :
« J’ai baptisé mon nouveau projet : TMLP-The movie light project, un nom pour moi limpide et qui disait tout, ayant pris l’habitude de formuler mes concepts en anglais. « Movie », mot très utilisé dans l’industrie du cinéma, pour dire que nous n’allions pas passer des choses faites en catimini mais bien participer au monde du cinéma au sens plein. « Light », en référence à la lumière de l’écran, même en projection numérique. Et aussi parce que « la lumière des idées », celle qui éclaire les esprits, qui crée cette ouverture culturelle, cet engagement citoyen, qui font que, d’un coup, on est illuminé par un truc qui nous fait un effet « Waouh » et va bien plus loin que le simple : « Tiens, ça m’a fait plaisir ». Et le « Project », parce qu’un projet est vivant, il nait, il meurt, il recommence, reprend sous une autre forme. J’avais envie de cette dimension vivante où on allait inventer. (...)
Le 1er endroit qui m’ait fait confiance est un espace de coworking à Juvisy. Son directeur, Stéphane Ruellan, pensait que les coworkers et les personnes qui fréquentaient le lieu de façon occasionnelle seraient partantes pour revenir le soir voir des documentaires ou participer à des projections-débats. Pour la toute première, j’ai passé Tout s’accélère, en présence de Gilles Vernet, son réalisateur. La salle, d’une capacité de 25 personnes, était comble. The movie light project démarrait « comme ça devait être ».
Et si cet extrait du témoignage de Stéphanie Will vous a intéressé.e...
... le texte intégral est dans le livre Talents que vous pouvez trouver ici