« Depuis 2014, nous avons réussi à faire de nouveaux partenariats : les légumineuses, avec la famille Godeau d’Étampes, qui faisait déjà du bio, mais pas de circuits courts. Le producteur nous a expliqué l’année suivante que sa participation à l’AMAP représentait pour lui un peu plus de voiture, un peu plus de comptabilité. Nous le savions déjà via d’autres groupes, mais lui le découvrait. Son arrivée marquait en tout cas l’ajout d’un produit local et vraiment nouveau ; il y a eu aussi, depuis sept ans, toute l’aventure avec Serge Coussens, quelqu’un d’assez épatant de sensibilité et de vraie connaissance de la terre. De 2010 à 2015, il ne proposait pas de contrats, mais vendait ses légumes avec succès sur un stand pendant la distribution. Il a, depuis, réellement monté sa structure avec les différentes aides qu’il a pu trouver. Nous avons aussi connu un renouvellement à la ferme Sainte-Colombe, avec un jeune couple qui s’est installé ; enfin, venant de Dourdan, une connaissance de Manu Vandame, Nicolas Planant, un producteur de fraises et d’asperges. Encore des produits nouveaux et locaux. »

Benoît Maherault (président de l'AMAP depuis 2018)

 L’AMAP, un lieu qui s’est révélé « essentiel » 

Et si cet extrait vous a intéressé(e)... 

le texte intégral de l'AMAP des Jardins de Cérès est dans le livre Terres toujours Précieuses que vous pouvez trouver ici